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Le roman algérien et la question des origines
Publié le 9 janvier 2006
Trois des meilleurs romanciers algériens contemporains abordent la question des origines dans leurs derniers romans : Maïssa Bey avec Surtout ne te retourne pas, Nourredine Saadi avec La nuit des origines, et Boualem Sansal avec Harraga.
Trois des meilleurs romanciers algériens contemporains abordent la question des origines dans leurs derniers romans : Maïssa Bey avec Surtout ne te retourne pas (Ed. de l’Aube), Nourredine Saadi avec La nuit des origines (Ed. de l’Aube) et Boualem Sansal avec Harraga (Gallimard). Il s’agit de trois dérives romanesques autour de femmes, celle à la double identité Amina/Wahida, celle qui sonde jusqu’au suicide le vertige de la lignée, Abla, et celles qui sont comme le repoussoir l’une de l’autre, Lamia et Cherifa.
