Quelques réflexions d’un ancien résident
En résidence d’écriture en 2019 au Musée national de l’histoire de l’immigration dans le cadre d’un programme du Conseil régional Île-de-France, lauréat 2018 du Prix littéraire de la Porte Dorée pour son roman Le Silence du chœur (Présence africaine, 2017).
Cette résidence d’écriture s’achève donc et je n’aime pas l’idée d’en dresser un bilan. Cependant, cette année de travail au Musée national de l’histoire de l’immigration a été si riche de collaborations, de rencontres, d’interventions diverses, et si féconde dans ma réflexion littéraire personnelle, qu’elle commande que j’y revienne. Je voudrais donner à lire les textes des ateliers que j’ai animés ici avec deux groupes de réfugiés, pour la plupart primo-arrivants ; ils constituent ma plus grande fierté de cette année. Mais auparavant, j’aimerais dire ceci.