The echo of the archives

Immigration et résistance. Le camp des partisans

80 ans après son exécution par la Gestapo au Mont Valérien, aux côtés de 21 camarades des Francs-tireurs et partisans - Main d'œuvre immigrée (FTP-MOI), représentés ensemble sur l’affiche de propagande nazie dite « Affiche rouge », Missak Manouchian est entré au Panthéon avec sa femme, Mélinée, le 21 février 2024. Cet événement national offre l’occasion à la revue Hommes & Migrations de revenir sur l’histoire de la participation des immigrés et étrangers à la résistance française durant la Seconde Guerre mondiale. 

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Carte postale du Congrès national d'unification des combattants engagés volontaires et résistants immigrés
Congrès national d'unification des combattants engagés volontaires et résistants immigrés, 1947, Carte postale. Inv 2018.77.1
© EPPPD-MNHI

Aux résistants étrangers, la France lentement reconnaissante 

La participation des immigrés à la résistance a longtemps constitué un angle mort de l’histoire de l’armée des ombres. Il faudra attendre la fin des années 1980 pour que commence à être étudiée l’importance de leur engagement et de leur combat pour la libération de la France et la défense de ses valeurs. 

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Champs de bataille et figures de résistants

De Paris aux Vosges, en passant par la Provence ou le Vercors, les immigrés et étrangers résistants ont déployé leurs actions de lutte clandestine contre l’occupant sur tout le territoire français. De nombreux articles de la revue rendent hommage à tous ces résistants venus de tous les horizons qui ont agi sur une grande diversité de territoires.

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